Dehors, il fait nuit et je marche seul dans les rues.
L’air pensif au milieu de la ville sans être vu,
Je repense à cette journée, ce premier regard que tu m’as lancé.
A ce jour de concert que je n’arrive pas à digérer,
Comment ai-je été con,
Pour être resté silencieux,
Te voilà à l’horizon,
Et pour pleurer plus que mes yeux.
Tu m’as aimé et je ne l’ai jamais vu.
Je t’ai aimé et tu ne l’as jamais su.
Qu’est ce que je donnerais pour rattraper le temps perdu,
En te sachant loin de moi, mais je n’en peux plus.
Ma tête tombe dans les paumes de mes mains.
Devant le départ du train déjà loin,
Je pense à une elfe étincelante aux mille feux aux milles chandelles.
Dans l’attente désespérée du retour de son mortel.
Comment ai-je été con
Pour laisser passer le courant
Te voilà à l’horizon,
Et moi, je cours contre le temps.
Tu m’as aimé et je ne l’ai jamais vu.
Je t’ai aimé et tu ne l’as jamais su.
Qu’est ce que je donnerais pour rattraper le temps perdu,
En te sachant loin de moi, mais je n’en peux plus.
Tu m’as aimé et je ne l’ai jamais vu.
Je t’ai aimé et tu ne l’as jamais su.
Qu’est ce que je donnerais pour rattraper le temps perdu,
En te sachant loin de moi, mais je n’en peux plus.
Dehors il fait nuit et je marche seul dans les rues
L’air pensif au milieu de la ville sans être vu,
A la merci de ce triste tunnel je n’arrive pas à sortir,
Et j’attends que ma lumière au bout puisse s’ouvrir.
Pendant que l’horloge tourne !
Pendant que l’horloge tourne !
Pendant que l’horloge tourne !
Pendant que l’horloge tourne !
Pendant que l’horloge tourne !
Paroles et musiques : Matthieu Diaz