L’amour est une force qui nous envahit,
Qu’on le veuille ou non, on est presque soumis,
Ajouter à ça la solitude,
Je ne suivrai pas longtemps cette habitude.
Une solitude tourmentée !
Cette solitude désespérée !
Une solitude tourmentée !
Cette solitude !
Loin de la candeur de ta beauté,
Loin de la douceur de tes baisers,
En dépit que je vive sous un toit,
Je suis sans abri, je suis sans toi.
Prisonnier du soir au matin, du matin au soir, rivé sur cette foutue pendule,
Jour après jour, nuit après nuit, je contemple le crépuscule.
Si tu savais,
Le nombre de vers écris,
A ce sujet,
J’ai vraiment pas l’air guéri.
Si tu savais,
Le nombre de mes insomnies,
Mais en effet,
Je pense à toi sans répit.
Si tu savais !
Et quelque fois je remplis mon foie,
Ma guitare me sollicite à la gratter,
Afin de limiter ces missives envers toi,
Comme une coupe prête à déborder.
Alors je prends ma plume et mes accords,
J’écris le manque d’une fée m’ayant séduit,
La lune et le soleil deviennent mes amis,
Ma source d’amour, si tu es d’accord.
Prisonnier du soir au matin, du matin au soir, rivé sur cette foutue pendule,
Jour après jour, nuit après nuit, je contemple le crépuscule.
Si tu savais,
O combien tu m’as envoûté,
A ton sujet,
Ces roses de sincérité.
Si tu savais,
Cet amour de longévité
Mais en effet,
Une solitude tourmentée,
Si tu savais, à ton sujet, sincèrement, mes sentiments
REFRAIN
Si tu savais, à ton sujet, si tu savais, mais en effet.
Paroles et musique : Matthieu Diaz