La vereda y la reja, de la calle saludaban
Los dos niños que pasaban, a comprar la parafina…..
El invierno centenario, un caudal de incertidumbre
a la espéra de un destino, que me lleva a camina
Tras la puerta que se cierra, con el grito del diarero
Y que encierra en una casa, todo un mundo deshojado
Con el viento que en la tarde, se metia a la cocina
Y llegaba hasta el brasero, y luego a la mesa tibia…
Y en la tarde habia el viento, que acarreaba volantines
que llenaba de esperanzas, los ojitos de los niños
que corriendo transpirados, con los ojos encendidos
mi hermano regresaba, con el volantin y el hilo…
Mas luego se vino el tiempo, y con el la negra nube
ya no canta la vecina, no grita el avallanero
y es por eso que te canto, palomita lindo pelo
porque quiero que gritemos, libremente nuestro anhelo….
Yo no sé si tu ya fuiste, a robar ciruelas verdes
ni que el aire que respiras, te huele a pasto seco…
Solo se que tu mirada, me ilumina la esperanza
de encontrar en mi camino, una tibia palabraaaaaaaaaaa ayyyyyy……
Le trottoir et la grille de la rue saluaient
Les deux enfants qui passaient, pour acheter la paraffine…..
L’hiver centenaire, beaucoup d’incertitude
A l’attente d’un destin, qui me mène à marcher
Derrière la porte qui se ferme, avec le cri du vendeur de journaux
Et qui enferme dans une maison, tout un monde effeuillé
Avec le vent qui dans l’après-midi, entrait dans la cuisine
Et qui arrivait jusqu’au brasier, et après à la table tiède…
Et dans l’après-midi, il y avait du vent, qui entraînait des cerfs-volants
qui remplissaient d’espoir, les petits yeux des enfants
qui courraient transpirants, avec les yeux émerveillés
mon frère rentrait, avec le cerf-volant et le fil…
Après le temps est venu, et avec lui le nuage noir
La voisine ne chante plus, le vendeur de noisette ne crie plus
Et c’est pour ça que je te chante, Petite Colombe aux beaux cheveux
Parce que je veux qu’on crie, librement notre aspiration…
Je ne sais pas si tu as déjà été voler des prunes vertes
Même pas si l’air que tu respires, sent les verts pâturage…
Tout ce que je sais c’est que ton regard, m’illumine de l’espoir
de trouver sur mon chemin, de douces paroles, aï…
Composition : Alejandro Diaz Corvolan